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Biographie MA DRÖLE DE VIE
08/12/2006 16:31
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MA DRÔLE DE VIE
pour la troisième foi je retape ces pages qui relate ma triste existence des premières années,de ma jeunesse ,je suis née dan le début de mille neuf cent trente sept an février.Mes parents travailler la terre comme ouvrier agricole nous n'étions pas très riche la guerre, menacer la France je n'est aucun souvenir des ses premières années , les souvenirs commence lorsque les allemands son dans le village ,lorsqu'ils passer avec leurs bottes .nous entendions, papa dire la patrouille tous le monde se cachez sous la table. Puis il y eu la maladie que nous appelions le Croupe . Ou selon autre nom médical la diphtérie. Alors ,les enfants furent envoyer dans les famille pour les éloigner , des autres enfants malade. Moi je resté a la maison , avec mon frère George qui était très malade je me souviens de ce docteur qui venais lui faire de piqûres il nous apporter des biscuits très dur puis il nous donnais des boites en carton . Pour jouer puis les jours passer ainsi que les années puis nous avons déménager pour allais dans un autre village en grandissant je m'aperçus que mon père disputer ma mère qu'ils la frapper .puis nous avons ,encore changer de maison je n'est jamais su pour qu'elle raison
nous allions toujours a la même école a Saint Paul . Nous faisions des kilomètres a pieds a cette époque il n-y avais pas de voiture été comme hivers il fallait marcher je me souviens un hivers ou il faisais tellement froid que mon petit , frère Jean -Claude tombât évanouis , nous fument obliger de retourner a la maison. La devant la cheminer nous nous sommes réchauffer ,avec un grand verre de lait chaud cette fois nous ne sommes pas retourné a l'école.Nous menions toujours la vie de tous les enfants de paysans .des qu'un enfant étais asse grand ils devait faire se que les parents leurs commander. Donc garder les vaches puis des qu'ils avait assez de force les foins les vendanges. Enfin cela faisait parti de la vie. Nous étions habitué .puis un soir que mon père entré de la foire avec le cousin Albert , comme d'habitude ,gris comme des ânes . Je crois me souvenir que ma soeurs parler avec un copain, lorsque mon père le vis il voulus flanquait un raclé a ma soeur, mais maman se mis devant et ses elle qui pris mon frère la défendez frappent mon père avec un de ses sabot . Puis nous priment la fuite a travers les vignes. Nous avions très peur lorsque nous arrivons chez les patrons ils nous réconfortait mes hélas ne pouvais rien faire pour nous . Alors nous avons marcher très loin pour arriver chez une cousine qui nou reçu comme des chiens. La elle nous fit coucher dans une grange puis le lendemain elle nous donner juste ce qu'il faut pour ne pas mourir de faim, ses chiens.
étais mieux nourrie que nous puis elle faisait travailler maman comme une esclave elle Madame buvais ,nous avions quitter la maison parce-que papa se saoulé nous retombions chez une soûlarde mais très bientôt maman trouvait un employeur ou nous avions un logement . Nous allions a l'école ,au village qui n'étais pas très loin de la maison. Mais pour allais chercher le lait il nous fallait allais très loin, et le soir nous avion très peur . Alors pour chasser la peurs nous chantions puis la peur nous l'avions lorsque nous arrivions de l'école car la dame dons maman s'occuper était une personne malade elle était attacher ,dans un fauteuil et elle nous crier de la détacher de lui donnait un couteau alors nous nous sauvions .depuis que je suis adulte des personnes attacher je les ai soigner a l'époque nous ne savions pas que cette maladie pouvais 's'appelait Alzheimèr Enfin les jours s'écouler; tranquille lorsque l'hiver arrivât maman tombât malade alors elle du partir pour l'hôpital il fallut trouvait une solution nous ne pouvions pas allais chez nôtre père alors maman trouvait la seul solution qui pouvais convenir elle nous amenait a bordeaux. Chez les religieuses qu'elle connaissez le couvant des soeurs de la miséricordes, la nous, fument reçu très gentiment elle accepté de me garder mais il fallait s'occuper de placer les deux petits
frères alors elle téléphonât aux soeurs de la charité dans la banlieue de bordeaux et tous fut arranger nous étions tous les trois en sécurité maman put entré a l'hôpital, pour ce faire soigner moi j'étais très heureuse les jeunes filles étais toutes très gentil les religieuses aussi j'avais plein de petites maman puis j'apprenais a coudre et je continuer a avoir des cours scolaire nous étions quatre petite filles, nous avions des jeux de toute sortes puis un matin la bonne mère me dit qu'elle avait fait un drôle de rêve , ou j'avais fait des bêtises . je me souviens de se moment nous sortions de la chapelle. Alors je me mit a pleurer puis je regagner l'atelier sainte marie ou nous faisions de la couture la chemise d'homme les cent mille chemises je me souviens encore de la mère portière lorsque l'on venais chercher l'ouvrage elle crier, chadourne. Mais revenons a ce fameux matin lorsque nous eûmes regagner notre lieu de travaille toutes mes compagnes m'entouraient puis elles se mirent a chanté pour moi car c'est mon anniversaire, moi on ne m'avais jamais fêté aucun anniversaire a la maison il y avait trop de gosse.
alors elle découvrirent un assiette avec des friandises puis une poupée de chiffon quelle joie je fut pour moi je garde toujours au fond de mon coeur cette période oh comme tous les enfants je faisait des bêtises . Je me souvient qu'un jours alors que je demander a la soeur qui nous faisais la classe un cahier de brouillon neuf elle regarder ci toutes les pages était bien pleine au beau milieux d'une page j'avais écrit en grosse lettre le mot de Cambronne les cinq lettres. Je fut punit et je du faire le tour de tous les atelier avec la page de cahier dans mon dos je n'est jamais recommencez mais les beaux jours allais hélas très vite passer car les bonnes mères n'avais pas le droit de prendre , des fillettes de moins de quatorze ans. Alors elle nous cacher dans le grenier. mais un jours alors que nous allions avoir une de ses visite la mère supérieure, demandait a une fillette qui avais douze an mais qui paraissez beaucoup plus de faire un petit mensonge. Hélas la petite ne su pas mentir est lorsque le policier lui demandait quel âge a-tu mon petit elle répondit douze an monsieur . Alors il ne tardèrent, pas a me dénichait cachais dan mon placard a balais . mon-dieu quelle journée il nous amenait
dans un autre pensionnat , chez les soeurs de la sagesse pour être sage c'est sur nous ne pourrions faire autrement ? âpres le bonheur le malheur allais me poursuivre .car hélas je tomber sur une religieuse qui n'aimais pas les fille pauvre. Est moi je le suis alors pour moi les corvées le ménage du dortoir puis du réfectoire mais je n'avais pas fini car j'avais une maladie je faisait pipi au lit alors lorsqu'elle aperçut la chose elle me fit honte devants toutes les autres filles, puis m'ordonnait de dormir chez les petites dons je devrais m'occuper ,mais cela ne me gênais pas car j'aimais les enfants. Mais elle ne me laisser aucun répit. Est pour les cours j'arrivais toujours lorsqu'ils étais commencer. Mais comme j'avais une bonne mémoire alors que je traverser les les coures pour rejoindre les classes ,je réviser puis lorsque j'arrive j'écoute les autres élèves. soeur ne pouvais pas me piéger les seul lacunes qui me faisais défaut je n'arrivais pas ,a apprendre les divisions a plusieurs chiffres. Puis lors des cours de musique moi je n-y avais, pas droit il me fallait garder la classe les jours les plus heureux était les jours ou j'allais faire la lecture au dames de l'ouvroir ,la j'étais considérais comme un être humain. Les dames m'aimer bien .
aussi une demoiselle qui était infirme, je me souvient elle portait un appareille , qui lui tenais la jambe ,un jours elle était allait a lourde, de son voyage elle me rapporter une médaille de la sainte vierge mais la soeur me la pris me disant que je n'avais pas besoin de bijoux puis lorsque je fit ma communion ,mes grandes soeurs m'achetèrent ma croix avec la chaîne mes juste âpres elle me pris aussitôt ce bijoux alors que je lui demandais pour quel raison elle me déposséder de mon bien elle me rétorquais que les filles pauvre ne devais pas avoir de coquetterie alors lorsque pour mes treize an elle dirent a mon père que âpres vacance de Noël elle ne me reprendrais plus je demander quel me rende ma croix de communion elle me dit que je l'avais perdu la voleuse elle aurais mérité la prison. Puis je quitter donc la pension ,je rentré avec mon père. Âpres quelques temps chez mon père je retourné chez ma mère, la je rester quelque temps puis ma mère voyant que j'étais chétive.
trouvait une assistante ,social qui me trouvait une place a la montagne, pour garder des enfants je partis donc avec d'autres enfants dans une ferme je chercher les montagnes mais elle étais bien loin il y avais des champs des prés des bois mais pas de montagnes . Puis le lendemain matin très tôt on me réveillait, nous prenions un café puis alors que je commencer a faire le ménage la dame me dit que-fait tu je lui répond le ménage . alors elle me répond ici on fait le ménage une fois par semaine que je devait allais aux écurie trouver le commis alors je sortez dehors ,puis trouvait les écuries lorsque j'arrivai , je me trouvai avec pleins de vaches je demandai au commis ce que je devais faire, il me montrais comment nettoyer l'écurie il me fallait enlever la paille sale puis mètre de la propre chez mon mon père mes frères ou papa s'occuper des vaches, lors quels était entré moi je me contenté de les garder. Mais mon esclavage ne faisais que commencer car bientôt j'allais voir ce quelle me réserver. après avoir fais ce travaille on m'amenât , voir les cochons m'expliquait se qu'ils me faudrais faire nettoyer les parc puis allais garder les porcs il y avait un champ rien que pour les cochons. Mais aussi il fallait allais avec le commis pour faire les laboures moi je, devais guider les vaches. Avec un grand bâton , mais j'avais très peur .
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