Alors que les années avais  passer nous nous aimions plus fort mais les garçons veule toujours plus alors un jours je refuser , de lui céder il ce fâchait car il avait des besoins comme tous les hommes a dix huit an  c'est ait un homme moi une gamine de seize ans . Puis tous allait mal mon patron lui   aussi me faisait des avances cochon je ne savait pas comment me débarrasser de ce mari     trop entreprenant alors je décider  de demander conseille a une dame qui parler l'anglais et le français . Je lui expliquer que ce monsieur  voulait me faire des choses qui n'était pas correcte . Alors je décider de partir .il y avait   une autre famille qui chercher une jeune fille a Guitre  un village de la gironde j'arrive chez c'est américains  une famille avec deux enfants très gentil âpres plusieurs jours Guy me manquer   je voulait mourir je voulait me jeter par la fenêtre a cette époques j'étais naïve je ne connaissez    rien de la vie puis un jours ma patronne m'annonçait qu'il fallait quelle parte a l'hôpital   pour avoir le bébé affolait je lui dit que je ne pouvait pas rester car une fillette de mon âge

ne pouvait décemment demeurer avec un home de cette âge avec deux enfants j'avais peur  l'expérience, de mon premier patron américain, me rester en mémoire . Alors je refuser de   rester je repris donc le chemin de la maison. Alors commencer pour moi la période   galère car le travaille ne courrait pas les rues pour les adolescentes, je travailler un peu avec ma mère  une une briqueterie du ménage chez le patron puis un jours mon frère me dit tu vient avec moi au cinéma  trop heureuse de sortir  j'accepte avec joie. J'ai regretté ce jours pendant plus de vingt an car ce soir la le destin, voulut que je rencontre celui qui devait devenir mon mari. Alors que nous étions a peine  installais un jeune homme vient dire bonjours a mon frère qui ne put faire autrement que de me  présente ce garçon était un copain a George moi je n'apprécier se garçon il avait l'air d'être
saoul , oh il n'étais pas laid plutôt joli garçon mais je sentez que les ennuis allais commencer    il me regarder d'une drôle de façon . Il insistait pour nous raccompagnais lorsque nous arrivions chez nous mon frère le présentais a notre mère moi je partis me coucher mais le lendemain.

il revient a la maison pour demander a la mère de me marier avec lui nous ne nous connaissions pas  la veille est voilà qu'il voulait m'épousais se monsieur étais tomber amoureux de moi an une   soirée ? Vous vous rendez conte ma mère trop contente de se débarrasser de cette adolescente    qui de toute façon était une gène elle me dit qu'il fallait que je me mari alors je m'enfuyais j'allais chez la maman de mon petit copain, hélas elle ne pouvais rien faire car j'étais mineur je suis partie,
chez des amis la je rester cacher . mais ma mère me trouvait bien vite alors elle écrivit a mon père,   lui disant qu'il fallait me marier car ci non j'allais tourner mal mon père acceptais ce mariage avec    cette homme que je ne connaissez pas je lui dit que je ne l'aimer pas que j'allais être malheureuse
mais rien n'y fit ou je me marier ou ma mère me remettait en pension alors que    j'avais déjà passer plusieurs années chez les religieuses je ne voulait pas y retourner .

le mariage égal  liberté oui la liberté allais très vite se transformait, en prison . Car le jour du mariage pendant que  nous déjeunions mes frères et beaux frères raconter des histoires drôle je me mit a rire la je reçut  ma première claque qui allais être suivit de beaucoup d'autres . De plus que nous n'étions   pas passer a l'église ce monsieur n'ayant pas fait sa communion mon père n'étais même pas   venus a la mairie ils avais signer un papier puisque j'étais mineur je me souviens que lorsque
nous somme sortie de la mairie les cloches de l'église se son mis a sonnait . Le bon dieu était avec   moi mais se n'étais que l'angélus de midi. Donc je reçut une gifle qui me brûlât   longtemps,
mon père compris a ce moment ,que le mariage de sa fille débuter asse mal le soir alors que nous   allions nous coucher je me reculer tous prés du bord opposer au sien mais il me  rattraper bien vite; alors je du subir son corps tous maigre puis je me dit qu'il allais me    faire un bébé cela me consoler mais je ne savait pas comment cela ce passer alors j'attendais toujours les jours passer  mais ils étais très jaloux je ne pouvais pas allais faire les courses au village il fallait que la voisine,  vienne avec moi les cènes de jalousie suivit de coups un jours il quittais son employeur pour partir.

chez un autre pour travailler la terre il y avais des vaches nous étions obliger d'aller dans les bois  pour ramasser la litière je commencer a être grosse puis je faisait que vomir je ne me nourrissez  que de café au lait il me fallait monter sur la charrette pour attraper l'herbe sèche cela étais très
pénible . puis un jours il partie pour allais chez un autre patron la ils étais très gentil la patronne    me garder souvent a manger alors que nous étions partie a la ville pour allais a la maternité noaviontaviont louer des bicyclettes nous n'avions pas de voiture lorsque j'arrivais la   sage-femme   me demandait ce que je voulait je lui dit que je venais pour le bébé elle me regarde d'un drôle d 'air comme ci je me moquez d'elle  alors âpres que je luis eu présenter mon carnet elle   me demandait ou je l'avais mis tellement j'étais menue . Lorsque je rentrée chez moi je me demander.

toujours comment le bébé allais venir le lendemain la fille de la patronne qui n'avais que douze    ans me dit tu est vraiment trop bête viens avec moi je vais te montré quelque chose elle pris  son livre de science ,et me dévoilas comment étais le corps de l'homme ainsi que celui de la femme.
Alors je compris que je ne connaissais absolument rien de la vie ce n'est pas chez les religieuses    que j'avais appris ces choses . ni par ma mère qui ne m'avais jamais rien expliquer. enfin je savais  que on ne me ferais pas un trou dans le ventre mais tout de même J'étais intriguais comment un   bébé pouvais sortir pas cette endroit enfin tous cela me paraissez bizarre mais j'avais confiance  Le livre ne pouvais pas mentir . donc lorsque le moment des couches arrivais je me  souviens que nous avions encore changer d'employeurs il travailler a l'usine de   briquetterie . alors que je commencer a avoir des douleurs , ma mère me dit qu'il fallait m'amener a la maternité mon mari partie donc chez le patron . pour me transporter .

   je me souviens qu'il me disait tu ne perd   pas les eaux, surtout pas dans la voiture mais bien ta serviette sous tes fesses j'avais   j'avais, envie de vomir.  tu parle il y aurais fallut sache déjà ce que cela voulait dire. alors nous arrivions ,a la maternité je soufrait le martyre .cela dura deux jour ce bébé ne voulait pas se dépêcher , de sortir . Je soufrait tellement lorsqu'il sortie il fallut me couper et recoudre alors    que la sage-femme me demandait le prénom du bébé je hurlait le nom de mon mari pour le mal qu'ils m'avais fait ces dames crurent que je répondais a leurs questions lorsque je fut remise de mes  émotion elle me présentèrent mon bébé qui ce prénommer André le prénom du papa. J'étais ; furieuse un autre André enfin il étais magnifique tous brun avec plein de cheveux noir j'avais
dix huit an toute petite et menue mais j'avais un petit être pour me consoler et peut être que   cela calmerais mon mari il deviendrais plus gentil mais non, je me faisais des illusions il    buvais et continué ces crise de jalousie de plus il ce trouver que Guy travailler a l'usine alors nous étions,  obliger de nous côtoyer. Maman avais déménager entre temps.

et comme nous étions  loger gratuitement par notre patron de l'usine un jour il nous demandât de bien vouloir partager la maison avec un autre ouvrier qui avait une femme le hasard voulus que ce couple étais le frère et la belle  soeur de mon ex petit fiancé c'est a dire Guy alors les cènes furent encore plus fréquente donc,   les coups plus nombreux mais que faire je regrettez de ne pas avoir suivit le conseille du policier   qui le jours ou maman étais venu le cherchez a la maternité alors que mon mari me maltraitez les  policiers nous amenaient au poste il me conseillait de le quitter avant qu'il ne soit trop tard.  Mais que faire lorsque l'on a dix huit an avec un bébé puis l'espoir qu'il change hélas, rien y fait. Puis je retombais de suite en ceinte car monsieur ne savais pas attendre il lui fallait du sexe.
Il me tromper mais cela ne lui suffisez pas puis les années se sons écoulés tous les ans  un nouveaux bébé .avec des changement de travaille puis de domicile le troisièmes bébé.

mourut trois jours après la naissance il avait la maladie bleu puis une broncho -pneumonie. Je sais qu'il n' allais pas bien car lorsqu'il est né il n'avais pas crier comme les  autres bébé alors je demandez a une aide sage-femme de demander au médecin de venir elle me pris le petit je ne le revit pas tard     jours plus tard mon mari m'appris qu'il étais décédé on s'empressait de me changer de chambre hélas il y avait   un berceau dans cette chambre alors je piquer une crise de nerfs le lendemain on me renvoyait a la maison je n'allais pas bien . alors que des voisins venais me dire bonjours ,et prendre de mes  nouvelles mon mari me fit encore une cène de jalousie cela suffisez; puis pour arroser le tous   lorsque le matin suivent je m'éveiller je me retrouver les pieds dans l'eau . la maison était inondé    alors je décidé de ne plus vivre cela suffisez je ne pouvait plus supporter toute cette souffrance.   Alors le soir je pris quinze comprimets    Valium     puis je m'endormis tranquille  
monsieur me réveillait pour son café vaseuse je me levais âpres luis avoir fait son café je.

décider de prendre le reste des cachés je lui portait donc son café et décréter que je voulais rester au lit    me voyant toute groggy il sortie du lit pour découvrir que j'avais vider tous les comprimés . Affoler
il courus chez la voisine qui avait un téléphone, pour appeler le docteur . mais malgré tous les soins    qu'il me prodiguait je me réveillait a l'hôpital avec un tuyau dans la bouche je voulais ,mourir est on ne me laisser pas partir puis on me transportait dans un autre service lorsque je m'éveiller complètement je me trouvait dans une grande salle des femmes crier une femme danser toute nue en roulent les yeux je me mis le tête sous les couverture en pleurent puis il y avait   des barreaux aux fenêtres ou es que je suit . Je ne compris que plus tard que ce service étais spécial . des folles mes moi je ne l'étais pas . Alors lorsque mon mari vint me voir ,  je me souviens pour se faire pardonner il m'avait apporter une jolie robe puis des boucle d'oreilles;

mes moi je voulait qu'il meure alors je tenter de le basculer dans l'escalier   heureusement quelle mon petit frère étais la il le rattraper par la peau des fesse du coup on me calmais puis un matin    un médecin passer pour sa visite il me questionnait je lui raconter mon histoire , il fut   Outré que je soit enfermer alors que âpres une épreuve pareille ses dans une maison de repos que j'aurais du allais.   Alors il me renvoyer chez moi mais la vie continuait avec les crise de jalousie. Puis  quelques mois âpres je fut de nouveaux grosse nous avions encore changer de patron  cela durant des années des mois de souffrance puis il quittait le métier le métier de la  terre pour les travaux publiques moi je tomber toujours enceinte je perdez les bébés je  passer des moi alitait avec des piqûres luis continuer
sa vie de patachon avec les femmes et la boisson moi les coups les crises de jalousie de  plus en plus fréquente je ne comprenait pas pour qu'elle raison je tomber toujours  enceinte/ nous prenions des précautions mais a cette époque il n'y avais pas la pilule il rester   les préservatif puis il y eu la métode    ogino  mais hélas cela ne marcher pas pour toute    les  femmes .

alors une fois de plus il y eu un bébé  je décider que je ne me soignerais pas je voulais qu'ils sorte pas de piqûres pas de lit je  couper du bois tirais de l'eau au puis faisais de la moto rien n'y fit il restais bien accrocher alors lors de sa  naissance je n'acheter pas de layettes ni de landau persuader qu'il ne vivrais pas puisque le   précédant    n'avais pas vécue mais lorsqu'il apparu la sage femmes me demande comment je voulais le prénommer; je lui répondit que puisqu'il allais mourir je ne lui avais pas chercher de prénom alors elle  me dit tu et folle c'est le plus beau bébé que tu a eu il se porte comme un charme   effectivement alors que je n'avais pris aucun médicaments nie être rester allonger comme pour les autres grossesses, le bébé   se porté bien alors je le prénommer François oui il me ressemblé il étais blond avec des yeux vert.

Puis nous avons encore déménager pour partir encore dans un autre endroit nous ne faisions que  partir il ne rester jamais dans un même endroit très longtemps mois je subissez toujours ses crises
et une fois de plus je tombait grosse cette fois je fut très malade j'allais du lit a la chaise de la table au lit puis a six mois de grossesses on me transportait a la clinique ou j'accouche  d'une petite fille mais elle étais mongolienne et elle avait un tumeur quelque chose comme ça
alors elle ne pouvais pas vivre dieu merci j'avais un autre enfant infirme après avoir eu une rougeole  ils avait eu une encéphalite alors qu'il avais onze mois qu'il commencer a marcher et a parler   le pauvre petit infirme pour le reste de la vie mais je préfère ne plus parler de cela donc
âpres que le bébé sois née il fallut m'endormir pour sortir le placenta trois jours âpres la sage-femme    dit qu'il fallait que j'entre a l'hôpital car je faisais de l'infection faute de soins je risquer mourir.