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Biographie 2MA DROLE DE VIE
08/12/2006 16:33
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Car lorsque nous étions au bout du champ je me trouvai coincer entre les vaches et les épineux les cornes des bêtes. me toucher la poitrine. Je pleurer souvent malgré cela le commis qui me disait que je ne risquer rien. Mais le travaille n'était pas fini les travaux des champs enlevais les
herbes avec la pioche ramasser le mais puis les blés allais laver les draps dans le ruisseau ,puis un jours je suis tomber dans l'eau, avec les drap jais eu très peur mais la patronne cest' moquer de moi je suis entrée tremper. De la tête au pied je me souviens ,ce jours la il y avais la batteuse pour le le blé , mon-dieu quelle honte tous les jeunes garçons , riaient. Car tout le village étais la mais cela n'étais pas fini un jours que je garder les porc , il s'enfuirent tous a travers les bois nous les avons retrouver a des kilomètres de la ferme je fut punis au lit sans manger un autre jours la patronne , nous demandait de couper du bois . avec un grand passe-partout mais nous n'avions pas assai de force malgré , que le fils soi plus fort que moi il devait avoir un an de plus que moi cela n'étais pas du travaille pour des enfants , de notre âge alors la patronne voyant, que je me fâcher âpres le garçon , car j'avais l'impression, qu'ils faisait.
exprès. Son père voyant cela viens lui donner une claque. Mais la mère arriver comme une furie et me filait une raclée la je me suis défendue elle avait un gros ventre je crois quelle attendais un bébé, a ce moment la j'aurais voulus quelle meure. Dieu me pardonne ,mais il y a des moment ou trop c'est trop les coups cela suffisait alors je m'enfuyais. Pour me cacher sous un arbre qui avait étais couper je me coucher dessous . Et rester cacher une bonne partie de la journée puis soudain j'attendis la patronne elle disait qu'elle allais avertir les gendarmes. Alors je sortes de ma cachette puis je r' entrées entrée a la maison. La la patronne me dit dallais me coucher. Le partie donc dans la réserve me coucher sans souper. Les jour passer, je travaillé toujours autant mais j'avais des furoncles partout mes pieds étais dans un triste état je devenais de plus en plus maigre je soufré de maux de tête ainsi que du ventre.
Alors un jour que nous étions allais a la ville ils décidèrent , de m'emmenais chez le médecin. La âpres m'avoir ausculter puis passer a la radio le docteur me questionnait? Pour savoir si j'avais étais malade . Je lui répond que j'avais attraper un chaud et froid mais que papa, ma vais poser des ventouses qu'il m'avais couper avec une lame de rasoir qu'il avais fait brûler. Le médecin , me dit que papa m'avais sauvais la vie car mon chaud et froid étais une, pleurésie. Puis la patronne lui ayant dit que comme je n'avais toujours pas mes règles ,je devait êtres enceinte alors le médecin m'ayant de nouveau ausculter lui dit qu'elle devrait avoir honte car pour êtres en état de grossesse, il faut avoir eu des rapport avec un garçon se qui 'n'étais pas mon cas. Mais en revanche qu'il fallait qu'elle me renvois chez moi ou alors il allais m'envoyer dans un préventorium. Alors plutôt que de me soigner elle me renvoya chez ma mère, je repartait pour bordeaux ou ma grande soeur étais venu me chercher au car .
j'avais, étais malade tous le long de la route. Lorsque j'arrivais a destination je ne reconnut pas ma soeur, et elle même eu du mal a me reconnaître. Tellement j'avais maigri . Puis il pleuvait et faisait très froid, lorsque nous sommes arrivais chez ma soeur Henriette elle me fit prendre un bain de pied bien chaud, puis j'antrée chez ma mère mais il me fallait trouvais du travail ma mère n'avais pas les moyen de me nourrir alors ma soeur me trouvait une place en ville il fallait s'occupait de deux enfants le ménage repassage puis bien surveiller les deux petits diables mon-dieu je n'avais vue autant de jouets il y en avait partout mais le travail étais dur pour une fillette de mon gabarit puis les vacance scolaire arrivaient nous somme partit dans un grand chateau.
a le travaille étais toujours aussi pénible plus de travaille car il y avait, plus de linge a entretenir les enfants le mari , toujours plus de travaille puis un jours ,un dimanche madame décidait de m'amenait a la messe avec eux ce fut une grande joie, car j'avais très peur, lorsque je rester seul. Il y avais des bruis bizarre, lorsque je le dit aux patron il me dit qu'il ne fallait pas avoir peur c'est simplement un ouvrier qui étais venu chercher des outils qu'il y avait une autre entrée. Alors ce dimanche matin nous partirent tous pour cette messe les patron avais leurs place devant avec les bourgeois moi j'étais derrière. Puis soudain la choral commençait a chantait alors ma voix s'élevât l'organiste me fit signe de venir rejoindre le groupe , se que je fit avec joie j'avais toujours chantait. lorsque jetait au pensionnat je chantais la messe est je connaissez tous les cantiques. mais ma joie fut de courte durée .
car lorsque nous fument sortie de l'église je reçut une gifle donc je me souviens encore, puis alors que je demander du papier et une enveloppe avec un timbre , pour écrire a mes parents elle me répondit que c'est trop cher enfin les jours passer mes mais misères n'étais pas fini un jours alors que pour le repas du midi je devais faire cuire des épinards madame me forçait a en manger je manger mais rejeter tous alors que je sortez, des toilette blanche comme la mort la clochette de service ce mit a teinter je me précipiter, pour desservir le patron vint a la cuisine pour voir ce que j'avais je lui dit que madame m'avais, forcer a manger des épinards que je n'aurais pas autres chose mais je ne les supporter pas alors il me dit la prochaine fois tu les jetteras ce que je fit mieux que cela je laisser cuire le légume plus longtemps qu'il ne lut fallut de ce fait il n-y a que ce qu'il faut pour les quatre.
Moi bien contente. puis les vacance allais bientôt se terminer donc monsieur repartez pour paris alors lorsqu'ils viens pour me dire au revoir, il me donnait une petite pièce . Mais ils n'étais pas plutôt parti que cette mauvaise mégère me repris mes sous. Puis un matin elle m'attrapas me traitant de voleuse car j'avais dérober des noix qu'elle avais trouvait sous mon oreiller. La mauvaise elle fouiller ma chambre pour voire ci je ne la volais pas, alors elle me ramenait chez papa lui disant que j'étais une voleuse, je revois encore mon pauvre père lui courant âpres avec un piquet, de vigne elle montait dans sa voiture sous les huées de mon père ainsi que de mes frères .
puis je retourner chez ma mère et retrouver du travaille chez des Personnes plus âgés , mais très gentil. Ils avais un atelier de chaudronnerie, cela faisais beaucoup de bruit mes le son en était harmonieux ,donc pas désagréable. Puis dans cette maison j'étais bien traiter.le matin je me levais , puis je préparer le petit déjeuner , puis le leurs porter au lit .puis lorsque j'avais pris le mien . je commencer le ménage. Puis j'allais faire les course se que je préférai étais lorsque madame , m'envoyer chercher le café directement au brûlleur . a cette bonne odeur Moi qui ne buvais que tu café chicorée chez mes parents, ma première paye je m'acheter une une blouse puis une paire de chaussure je me souviens des semelle de bois elle faisait comme un accordéon, oui la j'étais heureuse mais hélas les bon moment on toujours étais court dans ma vie. Alors que nous partions en vacance mes patrons me lésèrent chez ma mère et continuèrent leurs route pour allais chez leurs enfants Charente ou ils avait une pharmacie. hélas ma mère tombait malade et lorsque mes gentil patrons repassèrent pour venir me chercher je ne put repartir l'ami de ma mère tombât malade .
Alors qu'il prenait un bain de pied je m'aperrçut qu'il avait un orteil tous violet inquiet te j'appelai le médecin il me dit que l'oncle louis avait un début de gangrène ce fut le début de beaucoup de souffrance pour le pauvre home car les orteils puis le pied.petit a petit toute la jambe .enfin toujours est-il que je fut obliger de demeurer au logis . lorsque maman sortie de l'hôpital , il me fallut retrouver du travaille , a cette époque il y avait les américains, qui étais dans la région. avec femmes et enfants , est donc avait besoin d'aide aussi cherchait-on, des aide . pour s'occuper des enfants . ainsi que du ménage alors une dame américaine .nous lançât un défis . comme un concours diront nous il s'agissait , de porter le plus beau sapin , car nous étions en période de Noël . Moi comme ma grande soeur avait un copain américain je lui demandait de se renseigner auprès de lui pour savoir comment, ils décoré les maison bien ,je porter donc le sapin le plus court que je trouvait mais aussi le plus fournie alors que les autres fillettes avais porter des sapins énorme . qui ne passer pas la porte , oui car ces dames coupe les branches , quelles pose sur le mur comme une tapisserie .je fut donc prise puisque j'avais était plut maligne ,que toute les autres filles mais je n'avait aucun remord .
car elles avait toute des parents qui pouvait les nourrir moi pas alors je travailler avec enthousiasme il y avait deux petit garçons je m'occuper essentiellement des enfants puis un peu de ménage ,a cette époque je fréquenter un jeune home que je connaissez depuis l'âge de douze ans il était mitron apprentis, boulanger. Nous avions fait connaissance alors que je séjourner chez ma mère nous demeurions, auprès d'un lavoir je me souviens alors que nous faisions la lessive il fallait frotter des torchons alors maman me dit il faut mètre de l'huile de coude alors je lui dit qu'ils n'y avait pas de cette chose elle me répond vas chez l'épicière elle en a je courrez vite pour chercher de l'huile de coude lorsque je lui demander cette huile elle me dit tu est sur que ta maman ne veut pas del'huile de machine a coudre ,mais non maman ma dit de l'huile de coude la dame me dit alors que faite vous? je lui dit que nous étions au lavoir . Elle éclate de rire ?et me dit que cette huile n'exister pas.Car cella voulait dire qui fallait frotter, plus fort . je retourner au lavoir ma mère me vit arrivait elle riez mais pas moi enfin un soir je fit la connaissance de Guy nous étions très proche mais simplement copain puis les années passer nôtres amitié c'est transformer en quelques chose de plus fort a l'âge de seize an nôtres amour était la plus fort que l'amitié .
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