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biographie6 MA DRÖLE DE VIE
08/12/2006 16:39
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lors moi je supporté lorsque un soir alors que je faisais la tourner des chambres je trouver une petite mamie tomber de son lit je chercher une infirmière pour venir le remettre dans son lit . Je ne trouvais plus personnes a dix -neuf heures quarante -cinq,il n'y avais plus aucune infirmière dans la place alors il fallut que je me débrouille toute seul pour remettre la pauvre petite mamie dans son lit , je ne dit rien mais je commencer a avoir des doute sur les services de cette clinique puis un autre soir alors que j'attendais, le monte charge pour allais chercher le repas du soir dix huit heures pas de monte charge.
je commence a être inquiète les minutes passe et je fini par monter aux cuisines toutes ces dames son la je demande que ce passe t-il vous faites grève ou quoi elle me répondent non on attend le monte charge la je peu dire que ce fut trop pour moi je redescend tous les étages jusqu'au Rez-de-chaussée la je trouve le monte charge de ce service entrouvert,se qui fait qu'il ne risquais pas de fonctionnais cette idiote discutant avec une autre collègues , avais pris l'ascenseur et avais complètement oublier qu'elle avais ouvert son monte charge.
alors comme mon charriot étais le derniers je fut la dernières a descendre pour servirent ,le dîné aux malades très en colère, je m'excuser auprès de mes malades pour le retard . Plus tard lorsque je desservis je laver les bols les ranger je laisser tout bien en ordre puis je passer dans toute les chambres faire une dernière visite voir ci personnes avais besoin de quelques choses remettre les oreillers donnais de l'eau je ne manquer jamais de faire ces gestes plusieurs fois dans la journée comme le soir mais ce soir étais un soir ou j'allais leurs ferai de la peines je m'en voulais mais je ne pouvais plus travailler dans ses conditions. Alors je leurs expliquer ce qu'il ce passer puis leurs dit au revoir beaucoup ne pouvais retenir leurs larmes puis je descendit au bureau de la chef lui dit que je excuser de parti.
comme cela mais que je ne pouvais pas travailler dans ses conditions elle insistait,mais trop ces trop j'ai su depuis que cette cliniques avais étais fermer pars les service hygiène je ne sait ce qu'il sait passer mais je ne fut pas du tout étonner de cette fermeture malgré cela je me souvient qu'il y avais de bon médecins . Je démissionner donc de se travaille je demeurer encore Ménilmont , a Montreuil j'avais fait la connaissance d'un monsieur , qui allais devenir mon mari bien des années après il étais afficheur et lorsqu'il avais besoin de téléphoner il venais au café qui faisait hôtel un jours je m'aperçut qu'il avais des yeux bleu il étais blond puis très poli avec cela lorsqu'il me demander quelques chose nous nous connaissions a peine mais nous nous comprenions sans qu'il y ais besoin de grandes conversations puis un soir sa fille qui étais venue passer quelques jours chez lui m'invitait a dînait avec eux j'accepte avec joie puis il arrivas se qu'il devait arrivait lorsque deux célibataires ce retrouvent seul nous devenions très proche.
Oh pas de l'amour mais une grandes affection nous rapprocher mais nous gardions notre liberté puis je partaient de ma place il me fallait retrouvais du travaille puis son épouse avais décider de venir passer ses vacances avec lui je ne pouvais décemment pas rester auprès de lui alors je décider de partir faire une colonie de vacance dans L'ardèche le travaille allais êtres fatigant mais cela ne me faisait pas peur. La nuit avants mon départ je rêvais que mon fils aîné arrivais a paris il faut dire que je rêvais souvent de mes enfants car je ne pouvais plus les voir car alors qu'ils étais, a Saint Rémys les Cheveuses leurs père avais fais valoir qu'ils ne pouvais pas venir les voir alors avec une assistante social de son travaille les avais fais transférer son travaille les avais fais transférer a Chateauroux, dans un château cela faisais la moitié du chemin pour moi autant pour lui mais hélas ci moi j'allais les voir lui ni allais jamais.
Fin soixante quinze alors que les fêtes de fin d'années arrivais j'avertis les enfants que je ne pourrais venir pour Noêl mais que je viendrez pour la nouvelle années ma mère étant malade , je devais aller la voire lorsque je revins je téléphoner a la directrice pour l'avertir car les enfants partais souvent en promenades les samedis alors ces jours la je pouvais les sortir moi même je les amené au restaurant je leurs apporter ce que je pouvais pour leurs faire plaisir Patrick m'avais demander une guitare je le lui avais achetai une flûte pour son petit frère un petit accordéon il jouer des morceau rien que a écouter il n'avais aucune notion musical, mais ils avais le don quelle dommage que leurs père les ais amener mais ils avais le don quelle dommage que leurs père les ais sortie de ce pensionnat. Enfin toujours ait-il que alors que je téléphoner a la directrice avec qui j'avais développer une grande amitié elle me dit que les enfants,avait étais envoyer a bordeaux pour passer des testes psychologiques, mais ne nous revienne jamais les enfants leurs père les avais repris avec la complicité de
l'assistante social de son entreprise lorsque le vendredi je téléphoner la directrice inquiète me dit qu'ils n'étais pas rentré nous avons su qu'ils étais avec leurs père et leurs grande soeur qui bien attendue des que je suis partie c'est empresser de quitté la place ou elle étais cette gamine et ses frères vivais tous les quatre dans une caravanes a même la coure de l'usine ou leurs père travailler, monsieur avais étais fichu dehors par la propriétaire mes meubles jeté de droite a gauche chez ses frères enfin ? Lorsque mon conseiller a la banque m'avais dit que je faisais une bêtise, de dépenser mon argent dans des meubles il avais raison enfin revenons a cette période, donc les enfants vécurent plus de six mois dans cette porcherie il fallut que le juge des enfants les sorte puis il furent envoyais dans un autre foyer mais tous ce qu'ils avait appris avant , fut perdus il ne firent que des bêtises leurs jeunesses gâchais par la faute de leurs alcoolique
de père ma fille couchait avec des hommes je me demanderais toujours ci celui ci n'a pas abuser de ma fille car lorsque nous vivions ensemble il disais toujours dire que jais une vrais femme a coté de moi. Oui j'ai des doutes concernent la pureté de leurs relations malgré qu'elle mais juré qu'ils ne lavais pas toucher elle est tombé enceinte d'un home de presque vingt ans, de plus qu'elle mais le gamin ressemble comme deux gouttes d'eaux a son grand père de plus, il n'est pas très normale. Moi je soufrez de ne plus voir mes petits et je pleurez souvent, en pensent a ma famille qu'ils m'avais fallut quitter j'avais rêvais la nuit qui précéder mon départ, pour cette période pour L'ardèche que mon fils aîné arrivais a paris . alors que j'allais justement partir a Montreuil rejoindre loulou je vit un garçon de l'autre coté du quai qui me tourner le dos regardent le panneau qui indiquer les station je sut que mon fils, étais juste du coté opposer ou je me trouvais je crié son nom, mon coeur battez comme ci il allais éclater il se retournais je me souviens il voulait traverser je courut le rejoindre de l'autre coté.
mon-dieu mes prières avait étais exaucer je retrouver un de mes enfant celui la étais assai grand pour comprendre son père n'avais pas pu lui monter la tête mais il arrivais alors que je partez, je l'amenais avec moi puis le présenter a mon ami qui le pris sou son aile il lui appris le métier d'afficheur. Puis je suis parti lorsque j'arrivais au camp nous étions deux fille et un garçon , je me souviens il faisait très chaud nous avions des robes d'été lorsque nous sommes arrivais il faisait nuit . nous avions dîné en cour de route aussi lorsque nous somme arriver de suite nous avons fait nos lit et aussitôt coucher mais hélas je ne put dormir j'avais très mal ayant attraper un coup de soleil dans le dos. Des le matin l'infirmière me passait une pommade qui je me souviens santé le poisson . Mais qui fut efficace très vite puis nous avons commencé a préparer les grandes tentes pour recevoir les enfants . Lorsqu'ils arrivaient ce fut une drôle de journée.
Il y avais des petits puis des plus grands, je peu dire que a cette âge sa mange ils fallait porter des grands plats le travaille ne manquais pas mais le soir alors qu'ils étais coucher je partez voir les plus petits et je me souviens qu'ils m'appeler Nanou ils étais adorables il fallait que je leurs racoNanoues histoires cet a ce moment que j'ai écrit mon premier conte pour enfant puis je leurschanter des berceuses que j'invente comme ça ils finissez par s'endormir puis je rejoignais les autres animateurs la nous pouvions enfin profitais d'un moment de détente autour d'un feu de camp nous chantions des garçons jouait de la guitare un autre de la flûte nos soirées étais très agréable lorsque nous etions libres nous allions manger une glace au village
puis le dimanche soir nous allions en ville ou il y avais une guinguette nous dansions puis rentrions je me souviens il y avais un des aimateur qui avais une petite voiture nous montions tous dedans les uns sur les autres oui nous passions des bon moment. Les patrons étais très gentil, le directeur avais un petit avions il nous amenais chacun nôtres tours pour une ballade lorsque ce fut mon tour je fut malade et rejeter tous mon repas de midi heureusement il avais prévus des petits sacs en plastique, lorsque j'eut tous rejeter l'heure étais passer je ne voulais plut descendre ,alors monsieur m'expliquait qu'il ne fallait pas gesticuler mais moi je voulais tous voir le tableau de bord et le paysage, mais malgré mon malaise je ne regretter pas jais toujours garder la vision de cette belle nature vue du ciel je n'avais jamais vue des formes comme celle que je voyer ainsi que les couleurs
. Je passer trois mois ils faisait très chaud avec des orages toujours a l'heure des repas nous étions obliger de couvrir les plats et de courir pour qu'ils ne sois pas noyer de pluie . Mais au bout de deux mois je fut très fatiguait et je fut obliger de changer de poste je rester a la cuisines pour aider la cuisinière brave dame lorsque je voie Mahité a la télévision lorsqu'elle donne ses recettes . il me semble revoir cette gentil personne oui je me souviens nous étions très procheje lui avais conté mon histoire elle m'avais consoler alors que j'avais tans de peine, de ne pas voir mes enfants les enfants des autres ne peuvent remplacer ses
propres enfants. Mais cela fut une bonne une bonne expérience c'est a ce moment que j'ai écrit encore plus les adolescentes m'inspirais les amourettes les flirt tous cela est très enrichissent. Je voyer vivre les gosse avec leurs joies, et leurs chagrins moi je n 'avais eu que des chagrins et tellement peu de joie, lorsque j'avais leurs âge, je passer trois mois fatigant . Mais je revenais avec pleins de force et de courage un peu mélancolique; de quitté tous ses enfants qui m'avais donnais temps d'amour puis ses fillette qui étais tombais amoureuse,et qui pleurez dans mes bras je leurs disais qu'elle allais correspondre avec eux qu'ils se reverrais l'année prochaine . mais a cette âge la on ne réfléchis pas comme lorsque l'ont est adulte.enfin tous le monde partis il ne rester plus que nous nous restions encore quelques jours pour remettre le camp,en ordre puis j'entre a paris ou je
retrouver mon fils et mon ami loulou puis tous les copains.Il me fallait retrouvais du travaille et un endroit pour loger mon fils ayant pris ma chambre lorsque je suis partis faire mon séjours en colonie de vacance la femme de loulou étant reparti je rester avecl ui puis un jours ah pas très longtemps après que je soit entré alors que nous étions entrains déjeuner elle arrivait comme une furie entré dans la chambre trouver une paire de collants et partie,en criant qu'elle allais demandais le divorce ce qu'elle fit des quelle fut entré chez elle . trois mois plus tard le divorce étais prononcer. Elle ne tardait pas a se remarier il est vrais que loulou ne vivais que très peu avec elle travaillant a paris et elle demeurant en Charente- Maritime.
donc il ni eu guère de difficulté Charente trouvions un logement et nous aménagions mais nous avions pris des habitudes de célibataires est cela fut asse pénible mais il étais tellement gentil que âpres avoir vécu des années martyriser j'apprécie le calme nous sortions quelques fois avec des copains nous faisions des soirées au restaurant qui servez d'anex . car ses messieurs aimais se retrouver; le soir après le travaille pour y déguster un petite mousse ou boire l'apêro nous avions, trouvais une petite maison avec jardin ou je pouvais me reposer et prendre des bain de soleil mais nous avions une seul pièce qui faisais cuisine et chambre nous avions un lit rabatable la nuit la table étais dessous le lit cela ne dura pas longtemps car les patron du restaurant ou je travaillaient nous proposèrent de reprendre le pavillon qu'ils louer a Villemomble. Ouf enfin nous allions avoir un vrais logement lorsque nous vîmes le pavillon et le jardin nous n'avons
pas eu un instant d'hésitation nous trouvions des meubles nos amis qui quitté le pavillon me donner un canapé il étais abîmer mais je le recouvrirais puis nous aménageons .cette fois ci nous étions chez nous mon fils avait une chambre nous la nôtre puis une grand salle a manger qui faisais salon une cuisine asse grande puis un grand sous-sol avec la buanderie oui la nous avions de la place des arbres fruitiers dans le jardin cerisiers prunier pêcher puis des noisetiers alors nous avions tous pour être heureux mais mon ami un jours est entré complètement ivre alors je suit partie j'avais vécu vingt ans avec un alcoolique je ne voulais pas revivre la même chose je lui demander pourquoi il c'etais enivrer il ne voulut pas me le dire je l'ais su tard mais je prétend que lorsque l'on vie ensembles
on doit partager les peines et les joie alors je suis partie dans un hôtel tous prés de mon travaille oh je revenais très vite a la maison mais il fallut que j'insiste pour savoir ce qu'il ce passé?
une histoire de fisc et d'urssaf les impaye les huissier? Enfin toujours les mémes histoires les petit artisan coule rapport a l'état qui leurs grand bientôt plus qu'ils gagne car lorsque les ouvriers son payer il ne reste plus assez pour vivre et payer toutes les charges mais nous nous en sommes sortie la vie a repris tranquille jusque au jour ou nous devions partir en vacance pour L'italie la veille de partir il me dit on ne part pour L'italie j'aie les impôt a payer non cette fois je ne cède pas, je part complètement je prend mes valises ma machine a coudre et adieu moi je par pour L'italie huit jours nous campons nous mangeons des pizzas et nous dansons ,mais huit jours sons vite passer.
Nous entrons il faut reprendre le travaille et je doit retrouver un travaille très vite les amis avec qui je suis partis m'héberge pour l'instant mais je ne peut abuser de leurs gentillesse. Alors je part en ville pour chercher du travaille jais trouvais une place de serveuse dans un restaurent puis une chambre dans un petit hôtel alors que je retourne chez mes amie pour chercher mon bagage; et mes papiers , je m'aperçoit que je ne trouve plus mon carnet de chèques malgré mais recherches rien pourtant je suit certaine, de l'avoir laisser a l'appartement pour la bonne raison que je n'est plus d'argent sur mon compte alors que je recherche toujours la soeur de l'ami de ma copine m'aide dans mes recherches elle me dit peut être que la chienne le manger non il y aurait fallut qu'elle soit très forte pour allais ou mes papiers étais ranger puis ma copine me dit que loulou avais reçu une lettre, de ma banque j'avais fait des chèques sans provision je
me rendais de suite a ma banque, je fut surprise il y avais pour plus de mille et quelques franc des chaussure du parfum des choses, que je n'avais pas achetez
puisque je n'avais rien le denier chèque que j'avais fait étais pour les impôts de la télévision. Moi qui ne m'habiller que chez Tati les vêtements les moins cher ainsi que les chaussures je ne risquer pas de dépenser autan d'argent la banque n'avais pas regardez, la signature alors moi jais refuser de payer il mon envoyer courrier sur courrier pendant des mois plus des agios puis il se sons lasser mais nous avions retrouver la voleuse c'est la soeur de Jaques la voleuse elle fut arrêter mais comme elle n'étais pas solvable nous ne pouvions rien faire. Lorsque je fut convoquer a la gendarmerie je trouver cette jeune fille , qui se moquer de nous. j'avais envie de lui flanquer une gifle, mais cela n'aurais servie a rien . enfin les gendarmes la renvoyer chez elle . moi je travaille; puis j'avais trouvais une chambre, dans un autel je ne voyer plus mon ami .
puis un jour alors que j'allais a la laverie , je vit un camion d'affichage , s'arrêter au prés de moi . c'était Jaques l'ouvrier de loulou qui m'appelais . il me dit que mon ami me chercher partout . il voulais me voir; il étais très malheureux alors il me donnais rendez-vous dans un restaurant pour dînait nous dînions, donc ensemble puis il me demandait si j'avais besoin d'argent . qu'il ne voulais pas que je sois dans le besoin il voulais que je revienne a la maison moi je ne voulais pas revivre comme pars le passé alors ce soir la il passer la nuit a l'autel avec moi je lui dit que je voulais bien entré a la maison mais avec des conditions je coucherez dans une chambre seul je voulais ma liberté , il me promis de me laisser ma liberté j'entrais a la maison je ne pris pas la chambre d'amis. mais je rester avec mon ami depuis nous ne nous somme plus quitté les années se sont écoulé .
avec des joie et des peines je vivais heureuse je faisais se qui me plaisez je m'inscrivais au conservatoire de chant ou je pris des cours je travailler a cette époque comme agent d'assurance pour encaisser les primes mensuelles puis j'étais hôtesse télévision a l'hôpital jean-verdier a Bondy , a cette époque je passer chez des gens avec qui j'avais lié amitié ils, faisaient , de l'opérette en amateurs il me demander si je voulais faire partie de leurs groupe j'acceptais , avec plaisir j'adorais cette activité puis mon travaille me plaisez beaucoup j'avais le contact facile avec les malades ou avec les clients puis nous avions acheter des poussins puis des lapins. nous étions heureux puis un jours loulou tombait malade il fallut l'opérer des hernies, il récupérait très vite car il n'avais jamais étais malade puis quelques temps après je m'aperçut qu'il n'uriner pas correctement je le lui fait remarquer puis ils avais toujours mal au dos maisil ne m'écouter pas comme d'habitude jusque au jours ou il fit des caillots de sang alors ce fut urgent?
il entrée a l'hôpital lorsqu'il eu fait les examens le chirurgien constatais que le rein droit étais complètement fichu l'urine qui étais resté au fond étais du pu il avais eu de la chance de ne pas avoir fait une chute ou bien se cogner sur le coté droit il aurais put mourir donc le rein étais , complètement pourri il faut opéré d'urgence mais il est très courageux puis il lui faut des soins après cette intervention chirurgical tous les six mois des contrôles mais il na plus la force qu'ils avais avant cette opération puis d'autres problèmes plus intime mais malgré cela nous nous entendons toujours nous menons notre existence comme avant moi je travaille toujours puis nous sommes obliger de déménager. Nôtres propriétaire très Âgée, viens de décédé une histoire de partage avec les héritiers fait qu'il faut vendre le pavillon nous avons des voisins qui vende leurs petit logement alors nous allons en faire l'acquisition donc devenir propriétaire.
Fini les lapins et les poulets les fruits le jardin c'est un crève coeur mais pas moyen de faire, autrement nous allons donc déménager l'appartement est petit mais nous somme dans le centre ville tous prêts des commerces ainsi que des transports pour allais prendre le bus je n'est que la rue a traverser la gare est plus loin mais lorsqu'ils fait très froid je prend la voiture que je laisse au parking de la gare les mois passe je continus de chanter puis jais repris mon travaille dans l'animation commercial plus le merchandising tous les matins je les piles en rayon ainsi que les ustensile de cuisine Birambo le travaille est dur mais plaisant loulou a étais obliger d'arrêter le travaille il na plus assai de force pour faire le travaille qu'ils fait depuis des années .Alors il demande a son employeur de le licencier il na pas encore l'âge de la retraite alors ils va être au chômage quelques temps il va se reposer tout en bricolant a la maison.
Il y a un appartement a l'étage qui est a vendre une petite sommes nous allons donc l'aquerire il ni a pas d'électricité ni toilette alors loulou va faire tous les travaux . mais il y a toujours des moment ou le mal nous rattrape oh j'avais étais plusieurs fois malade mais un jours lorsque je travailler a l'hôpital j'avais attraper une lombalgie mais comme tout le monde je ne fait pas attention est un jours ou je faisais une animation pour la paella alors que je descendez des cuisine du magasin je rester coincer complètement plier en deux je travailler en me tenant le dos je ne peu continuer . le samedi matin je téléphoner a ma société d'animation pour les avertir . le médecin me dit qu'il fallait que je reste coucher sur une planche je rester, huit jours puis une copine me conseiller ; de voir un acuponcteur je pris rendez-vous mais lorsqu'il vie l'état dans lequel je me trouvais il me conseillait allais passer une radio. puis un scanner il me déclarait vous avais une hernies discal paralysante . effectivement je ne pouvais, plus marcher
ne sentant plus ma jambe droite alors il téléphonaient a la radio puis de la il fallut trouvais pour passer le scanner car nous étions a l'époque de pentecôte donc il étais très difficile de trouver une clinique ou hôpital ou on pouvais me recevoir immédiatement mais il y avais une clinique dans la marne qui put me prendre de suite je soufré de plus en plus.mais lorsque je sortie je su qu'ils fallait que je retourne de-suite chez mon médecin , lorsque j'arrivais il avais terminer ses consultations mais il me reçu puis après avoir examiner mes résultats il téléphonait a la clinique ou je fut admise de suite le chirurgien , viens me voir nous nous , connaissions car il m'avais déjà soigné pour une cheville alors que je m'étais brise malléole interne alors j'avais vraiment confiance donc deux jours plus tard je fut opéré lorsque je m'éveiller on m'avais ouvert dans le dos je soufrer beaucoup mais je ne penser pas qu'il me faudrait autant de mois pour me remettre il fallut me moulais un corset directement, sur le corps ce fut affreux de supporter ce carcan de plus nous étions en été il faisait très chaud .
mais avant de pouvoirs me lever et marcher je dut rester alitais presque deux mois avec une recommandation, ne pas bouger. je ne me nourrissais que de salade un jours que ma belle fille mon fils et leurs enfants venait me rendre visite le repas du soir se composait d'une grosse omelette et de salade je manger ma salade le matin je dut partir d'urgence a la clinique ou je demeurer huit jours âpres plusieurs examens et d'analyses le médecin me dit que j'avais encore des suite d'hépatite viral et que des que je manger des produits traiter par des insecticide ou autre cela m'empoisonner je sortie donc de clinique puis avec la permission du chirurgien je pus partir quelques jours an vacance avec mon mari nous sommes parti en Touraine nous avions un fourgon que nous avions transformait an camping car nous passions quelque jours tranquille.
loulou se reposer en péchant moi je me promener un peu puis me reposer le plus souvent possible je porté toujours mon corset qui me tenait la colonne vertébrale je soufré beaucoup mais je prenait l'air ce qui était importent bien sur il me fallait suivre un régime car j'étais très fragile ne pouvant pas manger n'importe quelle nourriture surtout les légumes vert car les produits que les maraîchais mettent dessus m'empoisonnent , nous passions des jours calme avec le soleil en cadeau . je visité une champignonnière, déguster un plat de champignon farcie goutté les vins de Touraine puis les vacances finie nous sommes entrée je m'occuper de mamie germaine mais je m'ennuyer car mon travaille me manquait puis je soufrait toujours de mon dos un jours que, je '
déjeuner avec mamie je rencontré, une dame avec qui j'avais fait de la gymnastique elle me proposait de me joindre a elle pour venir au club des anciens mais j'hésite je me trouvais , trop jeune alors elle me dit qu'il y avais des retraitées .mais des personnes qui ne travailler pas ou des jeunes retraités qui travailler dans l'administration effectivement je trouvais de jeune personnes a la retraite puis d'autres personnes plus âgés il y avais des groupes qui chanter d'autre qui faisais de la peinture sur soie des messieurs qui travailler la menuiserie , alors je me joignez au groupe qui chanté puis nous faisions de la poésie, puis nous avions repris la gymnastique avec des personnes plus âges .
nous remontions une opérette avec des collègues du conservatoire car nous n'avions plus de professeurs il avais abandonner les cours âpres une dispute avec le directeur alors cette nouvelle troupe allais très bien nous allions jouer la vie parisienne . puis, les vacances d'été venue nous décidions de partir en vacance ,dans les Pyrénées Orientales a Port-Vendres . Nous passions nos vacances ,aux camping de juin jusque Août .mais alors que nous étions partis en Espagne chez des amis j?e fit une chute me casser le poignet ;le médecin me fit un plâtre mais il ne me plâtrais mal,lorsque je rentré a paris , je pris rendez vous avec mon chirurgien, je soufrai beaucoup. il fallut refaire le plâtre que je gardait jusque au moi d'octobre des le plâtre sortit nous revenions a port-Vendres, avec mamie Germaine depuis je ne suis pas reparti je dénichait un appartement, de plein pieds mais hélas nôtres gentille propriétaire ne louais que pour les vacances.
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