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biographie5 MA DRÖLE DE VIE
08/12/2006 16:37
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lorsque je me réveillait je demander a manger lorsque ma soeur Ginette me demander ce qui me faisais plaisir je lui dit je veut un Chambourci une crème chocolat avec de la crème Chantilly.La pauvre elle partie faire cette course qui étais asse loin pour me plaire et a la première cuillerée leurs renvoyer tous car depuis l'accident je n'étais nourrie que de perfusions cette impression de faim allais durais encore un peu de temps puis je m'aperçut que j'avais la jambe en l'air un clou dans le bout du pied je soufrait énormément mais j'avais du courage, et dans la même chambre que moi il y avait deux autres dames qui avais subis des opérations alors le chirurgien nous dit qu'ils fallait que nous fassions des exercices alors tous les matins je faisais travailler les autres dames avec moi je ne me décourager pas, quelques temps après j'entrais a la maison un Kiné,
qui venais tous les jours a la maison il me fallut garder le lit plusieurs semaines j'avais demandait , une aide familiale pour s'occuper des enfants on m'envoyait une femme qui ne voulais pas laver le linge ni faire les carreaux ou passer la serpillière puis un matins ou je partez pour l'hôpital passer un contrôle lorsque je reviens les enfants se plaignirent , il n'avais rien manger car cette personne leurs avais fait des frite pas cuite et une salade de haricot blanc presque cru pour corser le tous elle avais dit aux pauvre gosse qu'elle étais la pour les élever puisque j'étais bonne a rien dieu me pardonne mais la rage me pris . Et clopin clopan je la fichait a la porte a coup de canne elle descendit les escalier quatre a quatre puis je téléphonez, a l'association qui s'occuper de cela en expliquant ce qu'ils ce passer le lendemain matin, une jeune femme ce présentait une amitié fut immédiate entre nous nous discutions âpres qu'elle eu fini son travaille l'après midi nous tricotions tous en causant de chose et d'autres je lui raconter la vie que mon mari me faisais vivre elle me consolait puis un jours je reçut une lettre de son bureau.
me demandant ci j'étais satisfaite de cette personne je fut intriguais car je m'aperçut qu'il ni avais pas madame mais en abrégé soeurs mon dieu comme j'étais gêné nous avions dit tellement de bêtises en parlant du sexe fort que lorsque le matin suivent je me mit a la vouvoyer puis lui poser le question lui ayant dit que j'avais reçut un courrier du bureau pour me demander ci j'étais satisfaite de ses service mais que je ne savait pas qu'elle étais religieuse alors que nous avions eu des conversations un peu osé elle me rétorquait que avant d'être religieuse elle avait était une femme comme moi mes quelle avait pris le voile âpres que son fiancé fut tué en Algérie alors elle Algérie sa vie au service des autres elle s'occuper des prostituées âpres son travaille chez moi je fut toucher de son courage et elle continuât a être mon amie pendant tous les mois qu'elle passait a la maison puis je lui demander de m'aidait a descendre sur la pelouse ou je regarder passer les voitures pour voire a qu'elle vitesse elles allais sur cent voitures très peu ralentissez combien de personnes pouvait se faire écraser comme moi. Combien d'accidents il faudrait pour qu'il y ai un passage clouter moi je ne pouvait plus marcher les moi passer et je n'avais toujours pas l'autorisation de quitter mes cannes .
puis au moi de décembre je me souviens, j'allais passer le contrôle le six décembre je me souviendrais toujours comme a l'accoutumer il y avais tous les internes et externes ainsi que des étudiants dans cette salle alors que je poser la question au chirurgien pour savoir ci j'allais quitter mes cannes il me dit de m'asseoir moi je ne voulais pas assise je l'étais toute la journée puis il me dit qu'il avais une mauvaise nouvelle a m'annoncer il fallait réopérer ci-non je ne pourrais plus marcher . Alors je lui demandais qu'elle chance j'avais de récupérer il me répond quatre vingt sur cent le lendemain je retourner a l'hôpital, deux jours après je passer sur la table d'opération je me souviens le six consultation le sept, retour a l'hôpital le huit salle d'opération le vingt deux décembre j'entre a la maison ou je pouvais fêté Noël avec mes enfants âpres plusieurs jours le Kiné recommencer a travailler dieu.
comme je soufrer les larmes je peu dire que les verser mais je savait qu'il me fa lais souffrir si je voulais retrouvais la souplesse de mes muscles. Le jours ou il me fit marcher toutes seul mes jambes n'avancer pas je ne savais plus mètre un pied devant l'autre. Alors il fallut qu'il m'aide ho cela reviens très vite je fit des progrès fulgurent le chirurgien n'en revenait pas la greffe avais fait le miracle alors que un an de soins n'avait abouti a rien aussi lorsque le moi d'avril arrivait j'ouvrais le bal du cartier oui il faut dire que c'est la fête du village je leurs montré a tous que je marcher et dansé puis les mois on passer il fallut encore un an pour que l'assurance, paye et pas ce que j'avais demander malgré l'avocat je n'est eu droit que cinquante pour cent . Les torts partager enfin cela valais mieux que rien je ne voulais pas de chèque mais de l'argent liquide je n'avais jamais eu autant d'argents lorsque je déposer cette somme sur mon compte
mon conseiller voulut que je le place sur un compte a mon nom mais je refuser nous avions des dettes alors j'allais tout régler puis le reste servirais pour acheter se qui fallait pour la maison. Comme je regretter plus tard de ne pas avoir suivis ses conseilles car la vie fut alors plus dur avec mon mari il voulut s'acheter une mobylette pour allais au travaille cela remplacer, son vieux solex il achetait une autre mobylette pour notre fils aîné le second reçue le solex. Moi je meublé la maison le pécule fondit comme neige au soleil . Et cela n'arrangeait pas les choses il fallut déménager une fois de plus nous trouvions un autre logement dans un h-l-m a Saint-Eulalie mais il ne pas faire de bruit alors que les enfants jouer a faire rouler des billes un mauvais coucheur nous fit des histoires comme il étais aussi fou que mon mari cela dégénérait. Un jour de Noël nous fument obliger de partir il nous fit des histoires alors que nous étions a déjeuner nous n'avons même pas pus passer la nuit de Noël a la maison nous somme partis chez mon frère qui de suite allais chez sa propriétaire elle nous louait une maison dans les vignes . Mais auprès de la rivière il fallait faire très attention avec les enfants mai ils allais a l'école je les accompagné , tous les matins ils étais inscrit a la cantine moi je travailler la vigne avec mon frère.
cela allais relativement bien malgré les cènes de jalousie toujours aussi fréquente je décider que j'allais chercher du travaille lorsque j'appris que le laboratoire pharmaceutique rechercher des employées j'en voyer ma candidature puis je le dit a mon mari .il m'insultait des mots les plus ordurier qu'ils existent sur la terre j'allai faire la pu toute les femmes qui travaille sons des pu enfin qu'ils me tuerais plutôt que de me laisser allais aux travaille mes deux grands travailler ma fille étais placer chez une très gentil dame malgré quelle ne fit pas grand choses alors comme les petits avais du retard a l'école il apprendrait mieux dans une école privé non monsieur ne voulut rien savoir. Un dimanche alors que nous avions du mondes a déjeuner comme presque tous les dimanche les piques assiette ne sons pas que chez les riches monsieur aimais recevoir alors qu'ils voulais faire payer le repas a son fils il recevais les autres famille ou autres. Avec les petits plats dans les grands cela n'avais pas d'importance ci le lendemain il n'y avaispas de nourriture pour les siens.
Du moment qu'il avais eu son plaisir mais ce jour la alors que ' j'avais passer la matinée a faire la cuisine alors que monsieur étais partie jouer aux tiercer . Avec ses copain je me souviens il faisais très beau nous allions déjeuner dehors la table mise mon frère ma belle soeur qui ne ficher jamais rien pour m'aider puis des anciens voisins de notre anciens logement lorsque nous demeurions a Mérignac tous le monde se mis a table lorsqu'ils s'aperçut qu'il ni avais pas le sel sur la table se levant viens me frapper la se fut trop je m'échapper derrière la maison la rivière me tendais les bras je ne savais pas nager ce serais vite fini mon frère m'attrapait juste a temps le soir il me fit une secondes cène me frapper nous mis dehors mon fils André retourner chez son logeur il n'y avais plus que mon second et mes deux petits. Ces ce même soir que je décider de m'enfuir il m'accuser de coucher avec mes propre enfants.
Trop cet trop j'avais tous supporter les accusations les voisin mes frères mes beaux frères . Mais mes propre fils non . Cela je ne pouvait pas l'admettre alors le mardi je pris mes deux petits les valises des enfants étais prête pour partir en colonie de vacance je pris quelques vêtements pour moi que je lis dans une valise puis nous partirent jusqu'au village pour prendre le bus pour bordeaux alors que nous arrivions en ville eus une hésitation tout de même on abandonne pas vingt ans de vie derrière soi comme cela mais alors fils qui avais beaucoup souffairent du comportement de son père me dit cette chose si tu retourne je me jette sous une voiture alors je n'hésite plus un instant mais a l'instant ou nous allions prendre le bus qui nous mènerais a la gare nous rencontrons mon neveu nous demande ce que nous faisons après lui avoir conté notre histoire il insiste pour que nous retournions avec lui il veut que nous allions chez sa mère moi je ne veux pas je suit avertis si je me réfugie dan la famille il viendras avec le fusil pour tuer tous le monde alors je vais a l'hôtel chez une dame qui me connais depuis très longtemps ma soeurs aîné avais demeurer un certain temps chez elle elle savais la vie que mon mari me faisais .
elle m'avais conseiller plusieurs fois de partir lorsque nous demeurions au village mais que faire avec des enfants puis le gros ventre maintenant j'étais libre enfin je partez, sur paris il ne me retrouverait plus. Je rester deux jours a cette hôtel le soir même il fit toutes la famille avec le fusil mais personne ne put dire ou j'étais partie ma logeuse me conseillait, d'écrire une lettre aux gendarme puis aux maire ainsi que pour l'assistante social ce que je fit puis le mercredi nous prenions le train pour paris quelle aventure pour les enfants et moi même nous n'avions jamais voyager les petits étais déjà partis an colonie de vacance des petits trajets. La nous partions loin puis il nous fallut changer de train car le train n'étais pas directe pour paris. Donc payer un supplément puis les enfants avais faim et soif, mon-dieu quelle galère nous étions très fatiguer nous arrivions gare Mon parnasse alors que nous devions arriver gare de Lyon oui je peu Lyon que ce fut très pénible heureusement dans le train il y avais des jeune militaires je neremercierais jamais asse grâce a eux les enfants furent sage.
et moi je put me reposer oui je peut dire que je fut bien aider il prirent soin de nous comme des fils et grands frères alors que les petits dormais je me dirigez vers un bureau marquer accueil, la je trouvais une personne qui me reçut très gentiment je lui conté mon histoire lui demandais quelques conseilles elle me dirigeais, vers un centre pour les enfants puis un foyer pour moi même quelle galère pour prendre le métro, les portes se ferme tellement vite que je ne pouvais pas faire monter les deux enfants en même temps ainsi que les valises une seconde de plus et je perdez un des enfants heureusement une âme, charitable me le passer avant que la porte ne ce referme puis nous arrivons a hôpital .Saint Vincent une chose a ne jamais faire car je ne savais pas que cette organisme se trouvais, faisant partie de la d-a-s sans le savoir je venais d'abandonner mes enfants quel choc lorsque le matin suivent alors que j'arrivais pour les voir on me signalais qu'ils n'avais pas besoins de leurs vêtements puisqu'ils leurs étais fournis .
.les valise sont rester a la consigne de la gare . les enfants sons rester quelques jours puis il furent envoyer dans un pensionnat a Saint Rémys-les-Chevreuse Moi je trouvait à me loger dans un foyer pour femmes seul .pas très loin de l'hôpital, ou je fut bien reçut j'avais une petite chambre pour moi toute seul puis deux repas pars jours. Donc a l'abri pour les jours a venir le samedi matin très tôt je sorti pour achetait le journal; la poste n'étais pas encore ouverte que je faisais le pied de grue comme on dit chez moi je fut la première a me précipiter pour entrée lorsque j'eus mon correspondant je me présenter puis, ayant donnais tous les renseignements demander la dame me demandais de me présenter, le dimanche matin ce que je fit mais avec beaucoup de difficulté car lorsque je me renseigner; pour la destination je ne prononcer pas bien le nom enfin âpres bien des difficulté je parvient a l'endroit je devait me rendre la je fut reçue par la directrice a qui j'expliquais simplement,dans qu'elle situation je me trouvais .
ce que je savait faire les soins que je pouvais faire au pensionnaires j'allais travaillé dans une maison de retraite la première mais pas la dernière enfin, le principale je revivais loin des coups des insultes libre enfin je travailler bien j'aimais mes, pensionnaires surtout lorsque je leurs faisait la lecture ou que le leurs lisais des poèmes. Puis j'avais des bonne copines . Je dit toujours que ce fut une renaissance lorsque j'arrivais a paris, des que je fut a la gare je savais que je ne risquais plus rien il ne me retrouverais plus ;je travailler donc avec enthousiasme mais j'étais mal dan ma peau des que un homme me regarder une envie de meurtre me prenais il ne devais pas me regarder cela devenez obsessionnelle les copine, voulais m'amener danser mais l'idée qu'un homme pouvez me toucher me rendez malade alors un jour j'entre chez un médecin pour lui dire que je devenais fada folle a enfermer alors il me demandais de raconté se qui m'était arriver âpres que 'j'eus fini mon histoire puis bien pleuré il me dit que bien d'autre a ma place aurais mal tourner ce que je n'avais pas fait. Ni droguer alcoolique ou autres villainis ou j'aurais pus m'enliser. Non j'étais normal il fallait que apprenne a vivre normalement.
que tous les hommes n'étais pas tous pareille que j'étais une jeune femme que ce n'étais pas parce que j'avais subit une opération que je ne pouvais entre aimer sexuellement. Rien n'étais changer la seul chose que je n'aurais plus le souci de tombé en ceinte alors il fallait que je profite de la vie alors je sortez au bal avec mes copines mais je danser pas plus les messieurs n'essayer pas de me faire la coure je les avertissez de suite la danse oui pour le reste non.Je métrais longtemps avant de guérir. Au travaille cela allais jusqu'au jours ou un matin alors que j'entre dans la chambre d'une pensionnaire , pour faire sa toilette et la lever je trouver la pauvre, petite mamie coucher de travers sur son lit les yeux révulser la bouche tordus je compris dessuite qu'elle avais fait une attaque cérébral je partez vite au bureau pour demander que la directrice appelle un médecin mais on me répondis que je ne connaissez rien que cette personne prenais des comprimés pour dormir ses cela qui l'avais rendu groggy. Mais moi j'avais eu l'expérience trois personnes chez moi avais eu cette maladie je connaissais les symptômes de cette maladie. Hélas la journée passer pas de docteur le deuxièmes jours je partais au bureau pour avoir des explications on me dit que je n'avais aucune connaissance j'avais a faire a la deuxièmes directrice celle que m'avais embaucher étais an congé celle-ci me répond qu'elle étais infirmière, qu'elle savais mieux que moi je crois qu'elle n'avais jamais fait une piqûres de sa vie encore
moins un pansement le matin du troisième jours des matin je retourner au bureau la ce trouvais le directeur je lui dit que je refuser de travailler avec des assassins puisqu'ils avais refusais de faire venir un médecin pour cette mamie ou je porter plainte auprès des autorités ou je partez. Alors il me dit que je ne pouvais pas partir que j'étais son meilleur élément je répondez que je partirais fin de journée qu'il me prépare ma paye . Il me dit vous avais la tête de mule ; monsieur je ne vous permet pas de m'insultais moi je suis polit alors je vous demande simplement, de me payer ce que vous me devez je retournais travailler a la coupure alors que je me reposer sur une balancelle il viens jusqu a moi pour me supplier me faire des yeux doux des courbettes. Pour qui es qu'il me prend pour une marionnette non monsieur je ne travaille pas comme cela. Vous me faite mon compte puis je part alors que les heures passer je dit aux autres filles, que je partez elle me dit réfléchis bien tu vas être dans la mouise mais je ne cédé pas et lorsque après le service je me présenter au bureau ma paye n'avais pas étais faite. Il ne voulais pas que je parte ,mais je ne cédé pas .pour retrouver du travail j'allais galèrer mais le courage ne manquer pas je trouver du travaille dans un restaurent mais ne rester que très peu de temps les patrons des arabes ne voulais pas me déclaré a la sécurité social oh ce ne fut pas les seuls je me suis aperçue lorsque j'ai fait mon dossier pour ma retraite combien de personnes, ce son fait piéger heureusement que les lois on changer mais cela et une autres histoire.
Donc je rechercher un autre emplois, au je ne fut pas longtemps avant de retravailler je trouver un emplois comme vendeuse dans un magasin de chaussures enfin vendeuse il fallait surtout que je range les boites puis que je fasse le ménage mais cela ne me déplaisez pas les clients ,étais très agréable puis j'apprenais les différentes matières, avec qu'elle chaussures les formes enfin tous ce qui se rapporter aux chaussures mais la encore une des vendeuse qui me faisait faire tous son travailles alors je me rebellais lui disant quelle étais paresseuse .lorsque la patronne arrivait un peu plus tard mademoiselle se plaignaient je l'avais insulté cela n'est ais pas vraie mais moi je n'étais, qu'une simple employée de plus nouvelle aux magasin alors malgré mes autres copines qui essayèrent de prendre ma défense rien ni fit je fut viré mais juste a coté il y avais un restaurent le Zayère il recherche une personne pour préparer les entrées
ainsi que les desserts. Alors je me présenté je fut embaucher le jours même la je travailler avec les cuisiniers ils m'apprirent a écaler des oeufs dur sen les écraser ce qui me servit plus tard lorsque je travailler dans d'autre restaurent enfin je travailler plusieurs semaines dans cette endroit mais je n'étais que pour remplacer une autre dame malade mais lorsque jeu fini mon séjours je fut recommander pour allais travailler dans un autre restaurent vers opéra puis ensuite au restaurent le Drouo je ne faisait que des remplacement mais maintenant je connaissez bien mon travaille lorsque mes remplacements étais terminé je trouver un autre travaille je travailler a l'hôtel chambre petit déjeuné. Le travaille étais très agréable les pourboires asse copieux jusqu'au jours ou l'intendante me jalousait car j'étais toujours bien coiffé et habiller cela déplaisais a mademoiselle surtout, que j'étais mince comme un fil alors qu'elle était énorme elle avais un corset pour essayer
de rentré le ventre les fesses sortez elle voulais que je travaille en tablier et savate moi non. Un jours que je m'était fait une entorses le médecin me demandai de garder mes botte qui me tenais bien la cheville cette personne, me fit une telle comédie que je lui sorti tous se que j'avais sur le coeur car elle ne ce contenter pas d'être jalouse mais elle passer dans les chambres avant que nous arrivions et nous faucher tous les pourboires .un autre jours un client me demander ci j'accepte de venir dîner avec lui je me souviens s'est un ingénieur polonais venu en France pour quelques semaines il avait assai de dîner seul je passer donc la soirée donc avec se charment monsieur puis lorsqu il partis il me laissais un courrier a la réception mais cette mauvaise se l'approprier je le sut par mes collègues la je ne put supporter davantage .
je parti au bureau de la directrice lui conter toute l'histoire et lui demander de me laisser partir. Elle fut désoler car j'étais un bon élément mais ma patience été a bout je crois que j'aurais fait une bêtise . Car j'avais envie de la passer par dessus l'escalier. Alors il valais mieux que je parte mais cela ne m'arranger pas car il me fallait rechercher un autre travaille de plus depuis que j'avais quittais le foyer car lorsque je travailler aux restaurent j'arrivais toujours âpres onze heures trente et le foyer fermer les porte a cette heure la il ma vais donc fallut chercher autre logement cela fut très difficile je chercher un hôtel pas trop cher mais j'avais très peur de tombé dans un lieux mal famé. Puis je trouver un petit hôtel lorsque je demander a l'hôtesse ci il n'y avais pas des filles qui venais elle me regarder sévèrement puis me voyant gêné elle me rassurait et me loué une petite chambre .
le soir elle veiller a la fenêtre pour voir ci j'arrivais elle me recommander de bien rcher a la lumière lorsque j'arrivais le soir tard, il ne m'arrivais jamais rien de faucheux. sauf un matin de premier de l'an ou des jeunes gens me prirent par la taille me dit alors chérie je me retourner lui ficher une gifle , qu'il me retournait de la même façon ce fut la première et la dernière fois ou je fut importuner. Déboires je n'avais pas fini d'en avoir car pour moi la galère allais continuer il me fallait trouver du travaille a tous prix il me fallait payer ma chambre puis allais voire mes petits leurs apporter des friandises , je courez tous les magasins pour trouver du travaille les petite annonces sur les vitrines un jours je vit une annonce un magasin demander une femme de ménage je me présenter la dame me demande les diplômes ci j'avais le bac je lui.
répondait non. mais es que vous chercher une vendeuse? Ou une femme de ménage ,je crois que ce jour la je désespérais de trouvais du travaille puis je n'avais plus envie de vivre alors je retourner prendre le journal et je recommencer a faire les petite annonces je trouver des petits boulots les intérims cela marcher lorsqu il y avais des remplacements un jour je fit un remplacement dans les médecins me mirent au lit car je ne pouvait faire ce travaille trop faible mais je fut payer, puis les jours les mois passer je trouver toujours du travaille les maisons de retraite les cliniques les restaurants deux journées de travaille dans une seul journée alors que je travailler dans une clinique spécialiser dans la chirurgie cardiaque je travailler dans un restaurant dans la même journée j'avais trouvais une petite chambre quelque temps aux par avant alors que j'avais travailler comme surveillante dans un magasin le patron avais bien voulus me la laisser en location, mais ci se travaille ne m'avais pas déplus alors qu'il m'avais fallut arrêter des jeunes adolescentes qui avais dérobé des marchandises lorsqu'ils me fallut les amener aux commissariat je fut plus malade que ses enfants le commissaire me vit ci pale qu'ils me demandais ci j'étais malade. Oui je l'étais de honte pour moi pour les parents je pensée que j'avais des enfants qui avais presque leurs age alors je préférer abandonner ce travaille
mais je put garder la chambre. Mais pour vivre il me fallait travailler je trouvais donc cette place a la clinique mon dieu j'étais bien les malade m'aimer bien j'étais toujours de bonne humeur je travailler avec entrain et joie il y avait même un patient un huissier de justice qui refuser de se faire raser par le coiffeur , il voulais que se soit moi qui lui fasse la barbe tout les matin il me donnais de l'argent .puis d'autre me demander de leurs faire des course des journaux des croissants pour le petit déjeuner enfin pleins de petits services cela ne me coûté rien puisque je commencer très tot mais je me fatiguais, car je travailler trop ne me nourrissant que très peu car la clinique ne nous nourrissez pas il fallait apporter notre repas alors je ne manger que lorsque je travailler au restaurant donc un matin alors que je
faisais le ménage comme tous les matin habituellement je chantonner doucement, ou alors sifflotais mais se matin je ne me sentais pas en forme j'entendais mon huissier et l'autre malade qui parlais il disait tien on entend pas notre petit rossignol ce matin . a cette instant je me sentie partir plouf je tomber comme une masse ayant entendu le bruit de ma chute il ce précipitaient lorsque je repris connaissance j'étais dans le bureau de l'interne il me dit qu'ils m'arrête car je n'est que six de tension que je devais me reposer il savais que je travailler, aux restaurant en plus de mon travaille a la clinique. Je te donne huit jours pour te reposer il le faut absolument tu doit arrêter de faire deux boulots il te faut choisir la clinique , ou le restau cela ne fut pas difficile . Puisque le restaurent je travailler au noir pas déclarer, je resterais a la clinique , je me reposer donc pris des vitamine mais trois jours passer je reviens travailler moi rester a ne rien faire je ne pouvais pas. Alors je repris mon travaille mais je travailler avec une jeune femme qui attendais
un bébé une blak je ne suis pas raciste mais je n'aime pas les paresseuses ,et celle la moins elle en faisais mieux elle se porter je faisais presque tous le travaille des choses facile pas trop pénibles elle aurais pus les faire, non elle s'asseye, ou la la je n'en peut plus voilà ce que j'attendais, que faire avec des gens comme cela rien ?
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