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biographie4 ma drôle de vie
08/12/2006 16:36
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Alors les enfants furent placer de droite et de gauche puis je fut hospitaliser la on me soignait avec des perfusions le médecin me dit que j'avais une tes mauvaise infection qu'il allais faire se qu'ils pouvait pour me sortir de la mais que ci cela ne guérissez pas ils faudrais m'opérer les médecins ;m'avais mis dans une petite chambre a deux lits il y avait une dame Âgée avec moi très gentil elle avait fait une hémiplégie sa fille était assistante social comme les soins que je recevez ne duré pas très longtemps âpres les perfusions je pouvez faire se qu'il me plaisez donc j'étais toujours occuper a quelques choses je faisais faire des mouvements a cette petite mamie pour qu'elle retrouve sa mobilité puis je m'occuper des autres personnes âgés je les coiffé enfin j'étais toujours,par mont et par vaux mais les jours passer et mon état ne s'arranger pas puis Noël arrivais j'étais toujours hospitaliser mais je ne m'ennuyer pas car je n'avais pas mon mari qui me faisais des misères.
puis j'apprenais beaucoup de choses de plus j'avais l'àge des étudiants ,et des externe filles et garçons alors je m'étais fait des copains et copines alors l'orsque pour le début de l'année il fallut, que je soit opérez je fut soutenue par tout le corps médical il me donnèrent la force dons j'avais besoin puis quelques temps avants je leurs avais dit que ci j'étais encore hospitalisais pour mes trente ans il devrais m'offrir le champagne. Donc les premiers jours de janvier je fut opérer. Dans la nuit je fut très mal il fallut me transfuser puis il me donnèrent le sacrement des malades. La religieuse le lendemain matin me trouvais assise dans mon lit avec des dragées dans la bouche? mon-dieu dit-elle dire que tu a reçus l'extrême-onction; cette nuit je lui répond au miracle ma mère.
moi jais faim pauvre soeur elle me fit cracher mes dragées puis comme le femme de charge passer pour me faire la toilette elle fut étonner car je ne m'étais pas contentais de croquer mes sucreries , mais ma toilette étais faite laver coiffé maquiller d'un soupçons de rouge a lèvre, puis cette faim qui ne me lacher pas enfin a dix heure lorsque le chirurgiens arrivais pour faire la visite, j'étais assise dans un fauteuil le groupe de Docteurs internes externes étudiants furent tous étonné de me trouvais assise devant mon lit avec le ventre ouvert puis la nuit que j'avais passer mais la vie est plus forte que la mort moi je voulais vivre j'allais avoir tente ans.
malgré la vie que me faisais mon mari j'avais mes enfants je me languissez,de ne pas les voire il ne pouvais pas venir me voire interdis au petits enfants les jours passer mon mari ayant fait des cènes . les médecins lui avais interdis de me rendre visite . Je peu dire que ce furent des vacances que je passer mais la faim me tenaillais toujours je ne pouvais rien absorber il fa lais faire les gaz alors je mentais pour avoir un peu de nourriture je dit que les gaz étais fait alors je commencer avec un peu de bouillon puis de la purée mais le ventre me fit mal , et je fut bien punie les copains ,me surnommèrent gaz-part.
mais les jours passer je voyer février arriver je passerais mon anniversaire a l'hôpital effectivement le huit février arriver j'étais toujours hospitaliser,alors on me fêtât puis le soir lorsque tous le mondes fut coucher nous allions dans les vestiaire le champagne qu'il m'avais promis étais la avec des gâteaux nous étions heureux je me souviendrais toujours de cette soirée lorsqu soudain on frappait a la porte nôtres bonne soeur faisais sa ronde je me cachez , dans le coin d'un placard lorsqu'elle me dit il est inutile de te cachais je sait que tu est la ,allais la récréation est terminer au lit je ne dit rien cette religieuse me connaissez depuis l'àge de onze ou douze an lorsque maman avait étais hospitaliser alors que jetais chez les soeurs.
J'obéissais mais lorsqu'elle eu fini son tour d'inspection nous allions dans la salle de garde finir la fête qui du se terminais vers deux heure du matin ha oui je ne l'oublierait jamais cette époques car les jours de bonheur ne peuvent duré toujours. Car des que je fut guéri il me fallut partir mais je n'entre pas chez moi mais dans une maison de repos mes garçons sont dans une famille d'accueil a Lormont ils vienne me voir ma mère garde les plus petits ma petite fille et chez ma belle soeur moi je me repose je reste plusieurs jours je ne me souviens plus combien de temps mais ce fut asse long . Messieurs mon mari lui mène la belle vie ma mère viens me voir elle me dit quelle ne la pas vue depuis trois jours alors il a découcher .moi je me fiche de ce qu'ils fait se que je sait c'est que je n'aurais jamais plus le gros ventre avant de partir de l'hôpital jais poser la question au chirurgien ,comment ce fait-il que mon mari se retirent lorsqu'il me coucher je tomber toujours enceinte il, m'expliquait que c'est un maladie une petite goutte des la pénétration et le bébé est en route il aurait put me faire encore des enfants jusques cinquante an est bien malade il l'étais jaloux épileptique plus cette cochonnerie.
il m'avais tous fait donc trois jours âpres qu'ilseu découcher une compagne qui était avec moi nous étions entrain de tricoté me dit ton mari, arrive avec une gerbe de fleures il a quelques choses a se faire pardonner effectivementil m'apporter un beaux bouquet de glaïeul mais je ne lui dit rien car de toute façon il mentais comme il respirer alors cela ne valais riens ils ne pouvais pas se passer de sexe moi je ne valais plus rien je n'étais plus une femme puisque l'on m'avais tous retiré je me ficher pas mal de se qu'il disais je pensé plus de douleurs menstruel plus de bébé enfin je vais vivre ils pouvais me tromper cela m'étais bien égal. je passer quelques temps dans cette maison de repos puis je revient a la maison.
les enfants allais tous a l'école mais une fois de plus nous déménagions nous aménagions dans la banlieue bordelaise il travailler toujours dans les travaux public mais lorsqu'il entré il buvais toujours.suivais les cènes de jalousie mais moi ci j'avais toujours aussi peur de lui je soufrait moins de la peur d'avoir un bébé alors je trouvais un peu de travaille chez une dame qui venais D'algeried'algérie . Je faisais du ménage cela me faisais un peu d'argent puis un jours je tombé malade, j'attrape une broncho-pulmonaire je du avoir des piqûres alors l'infirmière viens tous les jours puis un jours ou je me sentez mieux je décider de partir directement chez elle il faisais très beau nous étions an mai alors que j'entre a la maison une voiture s'arrêter pour me demandait un renseignement une camionnette me frôlais a quelques centimètres de plus je fut écraser cela devait être mon destin .
car ayant eu ma dernière piqûre je décider des le lendemain de partir a la sécurité social pour toucher des remboursements comme le bus ne passer que toute les deux heures je repris,le chemin du retour a pieds alors que je me trouvais a quelques distance de mon domicile le car arrivais le chauffeur qui me connaissez bien me proposait de finir le chemin avec le bus il y aurait mieux valut que je termine a pied car alors que je descendait du véhicule une voiture arrivait a plus de quatre vingt dix a l'heure me faucher m'envoyer a vingt cinq mètres plus loin lorsque l'on me ramasser j'étais toute briser je me retrouver a l'hôpital mes enfants qui attendais mon retour , avec ma mère virent la voiture m'envoyer en l'air je me réveiller il parais que je dit a mon beau-père allais papi on entre a la maison puis je tomber dans le comas d'où g'émerger quelques jours âpres.
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